Son évolution
Au lancement de ces derniers, il n’y avait que peu de certitude sur l’efficacité de cette technique ni même sur l’impact au niveau toxicologique. Cette nouvelle technologie cosmétique n’était pas légitime pour les consommateurs.
Actuellement, nous sommes plus en phase avec les nouvelles innovations. Les recherches sont plus poussées et on comprend surtout mieux comment cela marche. Notre mode de vie s’est adapté et cela correspond plus à nos désirs.
Avant la mise sur le marché, le procédé doit être approuvé à la fois scientifiquement (en laboratoire certifié ISO 9001) pour constater son efficacité mais aussi sa tolérance dermatologique par un panel d’utilisateurs. Des tests scientifiques se pratiquent avant, pendant et après l’utilisation du cosmétotextile.
En 2003, les professionnels de la filière cosmétotextile ont mis en place une normalisation pour encadrer la production de cosmétotextiles. Elle concernait le marché français mais elle a été généralisée au Comité Européen de Normalisation (CEN).
Actuellement, nous sommes plus en phase avec les nouvelles innovations. Les recherches sont plus poussées et on comprend surtout mieux comment cela marche.
Cinq critères qui sont pris en compte :
- la durabilité
- l’analyse chimique de la composition
- l’efficacité du cosmétique
- la non-toxicité du produit
- l’étiquetage détaillé
Un label Qualité « Cosmétotextile Certifié » a par la suite été élaboré.
Ses perspectives d’avenir
Les cosmétotextiles vont donc facilement renforcer leur part de marché sur le secteur de la minceur et s’ouvrir à d’autres très probablement comme sur des effets raffermissants, anti-âge…
La contribution des nouvelles technologies favorisera les textiles intelligents de manière renforcée. Les estimations prévoient dans 20 ans que 80% des textiles se trouveront être techniques ou fonctionnels.
Les perspectives se concentrent majoritairement dans le sport ou les « texticaments » (abréviation de textile et médicament).
